Hier, nous nous sommes retrouvées entre copines pour faire les galeries d’art autour de la rue Mazarine. Ne manquez pas Marcel Storr et ses villes ou cathédrales imaginaires à la galerie Lovenbruck et des œuvres d’artistes reconnus comme Cesar (ici l’œuvre compressée) ou Nikki de Saint Phalle à la galerie Vallois.
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Après, nous sommes allées à l’Orangerie, ce beau musée qui abrite depuis 1927 les Nymphéas de Monet, spécialement conçus pour ce lieu, grâce au soutien de Clémenceau, un ami proche de Monet. Nous avons vu l’exposition temporaire Magritte-Renoir. Pendant la deuxième guerre mondiale, Magritte abandonne son style surréaliste singulier et inquiétant et imite ou s’inspire de Renoir, le « peintre du bonheur » pour conjurer les horreurs de la guerre et de l’exil. On ne voit pas les grands chefs d’œuvre de Magritte dans cette exposition mais elle s’avère intéressante …
Et se retrouver dans les salles des Nymphéas est toujours très appréciable!
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Bonne fin de semaine à tous!
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