23.3.25

Le centre Pompidou








Que c’est agréable d’aller profiter du rooftop et du café le George tout en haut du Centre Pompidou avant la fermeture de ce musée pour des travaux de désamiantage et de rénovation pendant cinq ans. 

J’ai vu l’une des dernières expositions de Beaubourg en 2025, intitulée Paris Noir, qui montre la présence et l’influence d’artiste noirs en France de 1950 à 2000. J’ai eu des coups de cœur: bien sûr pour des photographies du très talentueux photographe afro-américain Gordon Parks qui a influencé tant de photographes (Ernest Cole, Dennis Morris…), une courtepointe de Faith Ringgold,  un autoportrait de Gerard Sekoto, ou une nouvelle version du tableau de Gabrielle d’Estrées et une de ses soeurs (initialement peint par un artiste inconnu appartenant à l’Ecole de Fontainebleau) par Georges Coran intitulée Délires et Paix.

Quel plaisir que de profiter de ces derniers mois du Centre Pompidou avant les travaux!

22.3.25

Les gros patinent bien

 



Je suis allée voir la pièce de théâtre Les Gros Patinent bien au théâtre de la Pépinière à Paris. Je n’avais entendu que des éloges de cette pièce qui a d’ailleurs reçu le Molière du Théâtre Public. La pièce est décrite comme un cabaret de carton. Le duo burlesque, à l’instar de Laurel et Hardy nous fait rire du début à la fin. Le spectacle cartonne partout en France! Ce spectacle est d’une grande créativité et un parfait remède contre la morosité! Allez-y! 

15.3.25

Disco












Une nouvelle exposition vient d’ouvrir à la Philarmonie sur la musique disco. Vous savez que le mot disco vient du mot français discothèque (un mot portemanteau formé de disque et de bibliothèque). La musique disco date des années 1970 alors que les discothèques connaissent un vif succès. La communauté africaine-américaine contribue fortement à l’émergence et à l’amour du disco avec des reines du disco telles Donna Summer, Candi Stanton, Diana Ross ou Gloria Gaynor. À New York, les couples gays sont autorisés à danser ensemble en 1969 et ils vont s’emparer de la musique disco tout comme les latinos ou les italo-americains. En 1977, le film Saturday Night Fever avec John Travolta rend le disco encore plus populaire et mainstream. Ce sont les Bee Gees qui ont composé la musique du film. D’autres musiques de groupes (ABBA, Chic, Earth,Wind and Fire, Village People…) sont présentes à l’expo. Le disco n’a jamais disparu… Aujourd’hui, on retrouve l’héritage du disco, par exemple avec Juliette Armanet ou The Notorious Big.
Si vous avez envie d’écouter de la musique disco, ou même de danser ou d’en apprendre plus sur le disco, allez à la Philarmonie découvrir cette belle exposition. 
Bon dimanche à tous!
❤️

10.3.25

Louvre Couture
















La mode a fait une entrée remarquée au Musée du Louvre. Le département des objets d’art du musée de Louvre accueille pour une exposition temporaire des vêtements et des accessoires prêtés par 45 maisons de couture: Alaïa, Balenciaga, Chanel, Christian Dior, Hermès, Iris Van Herpen, Vivienne Westwood… Dans cette exposition, un dialogue s’instaure entre les œuvres d’art, comme par exemple entre la tenture les chasses de Maximilien et le tailleur Bambi de Castelbajac… Les échos entre les pièces  sont toujours justes. 
J’ai appris que la collection du musée du Louvre compte 500000 pièces et seulement 13 habits, des manteaux de l’ordre du Saint-Esprit, un ordre de chevalerie fondé par le roi Henri III.  Gageons que la collection du Louvre évoluera et intégrera bientôt des vêtements.

En attendant, découvrez cette superbe exposition Louvre Couture jusqu’au 21 juillet 2025.
❤️

27.2.25

Chiharu Shiota au Grand Palais






















C’est une exposition exceptionnelle qui se tient actuellement au Grand Palais. C’est une première très grande exposition organisée en Europe de l’artiste japonaise Chiharu Shiota qui a étudié en Allemagne et qui y vit maintenant. L’artiste tisse des fils (de laine) et elle cherche à nous faire ressentir les frémissements de l’âme. Alors, moi, j’ai frémis devant tant de beauté! Les œuvres tissées sont faites sur place pour les expositions. C’est Chiharu et des élèves d’école d’art qui ont tissé des kilomètres de fil. Le résultat est spectaculaire. Le piano brûlé par l’artiste fait référence à la maison de son enfance qui a brûlé… Chiharu Shiota se nourrit des moments forts de sa vie (cancer, déménagement etc). Elle tisse des liens, et axe son travail sur les connections et les émotions. 
C’est spectaculaire!
❤️
Ps: Je porte une nouvelle robe Stine Goya (achetée au Bon Marché). 
Bonne semaine à tous!